Végétation luxuriante, plages infiniment belles, léchées par l’Océan Indien, singes pilleurs de touristes dans des temples en veux-tu, en voilà. Bali offre un formidable prétexte pour se laisser aller et admettre que la vie n’est pas si mal, en fait.
Spirituelle et terriblement sensuelle, Bali se livre avec grâce et générosité au partage de ses richesses naturelles et culturelles (Yoga quand tu nous tiens !). Classée parmi les plus petites îles de l’Océan Indien, elle regorge d’activités à pratiquer dans des conditions idéales, sous un climat quasi-constant soit beau et bon: farniente, massages, siestes, sirotage de cocktails au bord de piscines ou randonnées, treks, golf, promenades à cheval, selon. Le sud de l’île est touristique, certes, mais il réserve de belles surprises le long de ses falaises et de ses plages parsemées de surfeurs vous narguant de leur jeu de hanches pour suivre la courbe des vagues. A propos, nous avons négligé de mentionner que les plus sportifs d’entre vous pourront se livrer à cette pratique mais aussi à la plongée, au snorkelling ou encore au bodyboard (inconnu au bataillon des diplômes aquatiques).
Nous ne livrerons pas ici, tout ce que vous vous devez de voir, de goûter ou d’apprendre (hormis le mot Banyan, arbre sacré, pour légender votre compte Insta) pour la simple et bonne raison que vous achèterez un guide touristique avant de partir. Vivre l’insolite à Bali ? Deux adresses pour une expérience unique chez le designer Pascal Morabito.
Morabito Artvilla
Le célèbre artiste designer marque de son empreinte singulière le sud de Bali, en conceptualisant le paradis sur l’Île des Dieux. Apaisant, structurale et harmonieux, l’art est omniprésent dans tout le Resort, issu du patrimoine indonésien ou conçu par l’artiste, insatiable créateur et collectionneur. Afin de jouir pleinement de la situation, optez pour la suite Canopée de 500 m2 équipée de tout le confort technique et technologique possible et comprenant deux chambres (lits king size), deux piscines privées (si !), deux salles de bain (oui), un bureau (quand il faut, il faut), un immense salon (pourquoi pas) et une terrasse de rêve (surtout). Du compromis entre modernité, technologie, art et pièces antiques résulte un décor aussi branché qu’intemporel.
http://www.morabitoartvilla.com/
Morabito Artcliff
Au gré de ses pérégrinations à travers le monde, Pascal Morabito a dressé un inventaire de ses villes coups de cœur, dont les plus beaux sites balnéaires, et a entrepris de reproduire le charme de l’architecture de leurs villas dans son pays d’adoption. Si vous êtes surs d’être à Bali, preuve à l’appui avec votre étiquette pendue sur la poignée de la valise, vous êtes aussi à Santorin, Carthagène, Capri, Miami ou Manhattan suivant votre choix de loft. Les cinq villes réintégrés dans ce décor tropical bénéficient désormais d’un climat annuel doux et de coucher de soleil indonésien à se damner. Parfaites réussites, les cinq villas bordent la plage de sable blanc de Bingin, spot de surf réputé. Coup de cœur pour Santorini, sa terrasse équipée d’un jacuzzi donnant vu sur l’océan (et les surfeurs !), et Miami.
Plus spacieux en termes de dimensions, le loft américain est agrémenté d’une vaste terrasse tournée vers l’océan, d’une piscine intérieure et extérieure, de deux grandes chambres (40m2) et d’un salon de 280 m2. Si le petit déjeuner inclus est servi tous les matins, une cuisine, un bar et une salle à manger permettent de préparer fêtes et infusions d’après fête, voire des repas gastronomiques ou collations légères. Il va de soi que le loft répond à tous les critères de modernité, intégrant un équipement wifi, TV et climatisation. En ce qui concerne la logistique, oubliez le tablier, les maniques et le Monsieur Propre version balinaise, des experts (Miami oblige), un majordome et une femme de ménage, sont à votre disposition. Deux destinations en une, c’est finalement la promesse livrée par le maître des lieux. Pari tenu ! http://www.morabitoartcliff.com/
